jeudi 5 mars 2015

10- Pôles de développement


Le Plan Stratégique de Développement d'Haïti (PSDH) opte pour un développement territorial polarisé. Le concept de pôle de développement est malheureusement mal compris par les auteurs du document. Cela conduit, comme pour la localisation industrielle à des propositions concrètes très loin de l'optimum économique.

Visionnez la présentation suivante qui essaie de faire succinctement le point sur la question.


Allez aussi consulter le document suivant de Patrice Collignon qui concerne les pôles ruraux.
Une approche polycentrique basée sur les pôles urbains et ruraux.


Pour le cas haïtien, consultez à nouveau :


31 commentaires:

  1. ALMIDOR Youwens19 mars 2015 à 18:49

    En Haiti, l'amenagement du territoire se fait toujours à l'echelle micro. Les dirigeants aux timons des affaires, pour des raisons politiques, s'occupent chacun de leurs propres partie. Ils mettent sur pied des plans d'amenagement non durables. L'execution de certains reste souvent inachevée, toujours pour des raisons politiques. Ce sont toutes des strategies mise en oeuvre pour le maintient ou du moins pour le renouvellement de leurs mandats.

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  2. ALMIDOR Youwens19 mars 2015 à 19:10

    L`ideal commun est une expression à tout prix rejetée dans la polique haitienne. Chaque dirigeant, député, sénateur, président et j'en passe, vise son propre intérêt. Voulant satifaire leur desir et celui de ceux qui les ont aidé à monter au pouvoir d'une manière ou d'une autre, légale ou illégale, tout les soit disant projets qu'ils avaient pour le peuple se trouvent maintenant au dernier niveau de leurs pensées. D'où l'exclusion sociale. Une grande majorité de la population demeure insatisfaite, non privilegiée en services, en soin médicaux, en emplois etc...

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  3. En ce qui concerne les reseaux routiers, leur rehabilitation n'auront pas un effet negatif sur l'environement? Par exemple rehabiliter un tronçon qui relie un marché de charbon de bois et l'endroit ou on coupe ces bois pour l'approvisionement de ce dit marché.

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    1. DORVIL Nephthali12 mai 2016 à 20:57

      Je pense qu’il peut y avoir un impact néfaste sur l’environnement. Car, les milieux ruraux vont subir l’influence des milieux urbains grâce à l’accès du développement des axes routiers comme c’est à dire les gens ruraux vont effectuer l’abattage des arbres à une haute intensité. Les produits peuvent donc écoulés facilement vers les grandes villes. La construction des routes peut contribuer aussi à une trop grande exploitation des milieux ruraux. Cependant, ils vont contribués également à attirer des entreprises si le milieu rural possède un nombre considérable de consommateur, un niveau de sécurité plus ou moins stable et aussi des mains d’œuvre disponible.

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  4. Les pôles de développement ne devraient pas seulement les grandes villes, les lieux centraux peuvent être aussi des espaces rurales. Donc je pense qu’on devrait tenir compte de marchés publics ruraux. La plupart des espaces rurales peuvent être des zones de concentration de richesse et une activité économique.

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  5. SAINCILA Johnson5 mai 2016 à 17:43

    Je pense qu’on devrait mettre en évidence les marchés de regroupement qui se trouvent dans les espaces rurales, car ces marchés-là jouent un rôle important dans le développent économique du pays.

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  6. SAINT-VICTOR Abdias Pierre5 mai 2016 à 17:55

    Mon cher SAINCILA votre approche est impressionnante, mais ce qui parait aussi sensé c’est qu’il y a aussi des marchés de regroupement dans les zones urbaines, bien que je sache le rôle important que peut jouer les marchés ruraux dans le développent économique du pays.

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  7. PATRICE Asner5 mai 2016 à 21:11

    Dans le plan stratégique de developpement d'Haiti (PSDH),au niveau du troisième point du pacte qui propose au secteur privé d'animer le developpement économique avec l'aide de l'Etat .pour moi, le secteur privé d'Haiti pourrait effectivement remplir cette fonction mais la réalité socio-politique l'empeche, ce qui entraine parfois une faible inverstissement de ce dernier par manque d'accompagnement de l'Etat en terme de securité publique. En effet, l'Etat doit garantir une atmosphère propice tout en accordant le plus de priorité possible pour permettre à ce secteur d'inverstir afin de favoriser beaucoup plus d'emploi dans le pays.

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  8. Le plan de stratégies de développement d’Haïti a trois grandes missions, La deuxième mission est de sensibiliser les acteurs des entreprises de guider le pays vers un seul objectif. Quel est cet objectif ? Si c’est pour garantir la croissance économique de ce pays, comment l’état va repartir les industries qui produisent les mêmes biens et qui étaient déjà en compétions sur le marché ?pour éviter cette compétions, quelles sont les stratégies que l’état haïtien va mettre en place pour fixer et stabiliser le prix des produits ? Dans le domaine économie on a dit que pour faciliter le développement de ce pays, ce dernier doit être mené par le secteur privé, tandis que Haïti c’est le secteur privé qui dirige tout et le pays régresse au lieu de se diriger vers la voie de développement ? On voudrait savoir, qu’’est ce qui sont à la base de cette régression ? L’état ou les secteurs privés ?

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  9. Dans le développement d’une zone, on choisit seulement de mettre l’accent sur la production comme étant le premier facteur essentiel qu’on doit toucher, on n’est pas trop basé sur les infrastructures routières. Alors que dans la théorie d’Alfred webert, le cout de transport est l’un des éléments crucial pour la localisation industrielle. Et, on sait que le cout de transport varie en fonction de la distance et l’état des routes, si ces dernières sont en bon état de fonctionnement, cela pourra améliorer considérablement ce cout, qui commence d’une part à entrainer l’attraction des industries à s’installer dans la zone. Dans ce cas, je pourrais dire que, le développement serait axé en premier lieu sur deux principaux éléments à savoir : la production et le moyen de transport. Parce qu’on ne peut ne pas tenir compte des critères de l’installation des industries qui pourront créer des emplois dans le milieu, car la population recherche toujours le travail avant tout.

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  10. A propos du plan d’aménagement du territoire discuté dans ce diapos, je vois que la forte centralisation et la faible urbanisation sont proportionnelles c’est-à-dire dans un territoire où il y a peu de grandes villes (Haïti par exemple) c’est un fait normal d’avoir une forte centralisation. A mon avis, toutefois on veut initier un processus de développement on doit penser d’abord à une forte urbanisation de ce territoire et ensuite à la décentralisation.

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  11. L’aménagement du territoire nous aide à mieux gérer les sols (sol cultivable et sol pour la construction), permet aussi de repartir l’équipement et les activités dans un espace géographique. L’aménagement du territoire est un instrument important qui va nous aider a bien placer les marchés par rapports aux villes, il nous permet aussi de bien construire certaines zones, va les classer en commune, section communale dépendamment de ses densités de populations et ses niveaux de domination sur les autres villes. Il nous aide à mieux organiser, gérer les systèmes d'échange et de transport entre deux villes qui produisent deux biens de différente nature. L'aménagement du territoire représente aujourd'hui un instrument très complexe qui s'efforce d'orienter la répartition des populations, leurs activités dans un espace géographique donné et en tenant comptent de choix politiques globaux

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  12. En se referant au premier element du pacte du PSDH preconisant" la creation economique durale" je pense qu'on doit penser a des activites ecomiques polarisees pour y arriver c'est-a-dire les autorites etatiques et les investisseurs doivent se mettre d'accord sur la creation des activites economiques pouvant generer d'autres activites economiques prenons un exemple du secteur agricol comme la production des cultures marechaires pour l'exportation qui entrainera:la creation d'emploi et diminue le taux d'importation de ces produits,l'attraction du tourisme car les tourismes vont trouver des produits de bonnes qualiter pour leur consummation et une augmentation du PIB par les richesses produites.Donc sans penser a des activites economiques polarisees je pense que c'est impossible de parler d'une economie durable dans le pays.

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  13. MICHEL Paule-Annia Dorothy11 mai 2016 à 23:53

    Je pense qu'avant meme de prendre en compte des strategies de croissance economique et autres le point du pacte auquel il faudrait accorder la priorité serait le choix de construction d'un Etat fort, deconcentré et decentralisé. L'un des problemes majeurs qui entravent l'avancement economique du pays est la centralisation et la concentration des services et de l'activité economique à la capitale sans parler de la mauvaise foi flagrante de ceux qui sont supposé etre des meneurs et travailler à l'avancement du pays. L'Etat devrait etre l'instigateur du developpemnt d'un pays. La construction d'un Etat fort, deconcentré et decentralisé devrait etre le point de depart vers une croissance economique forte et durable.

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    1. La question de l’Etat fort, décentralisé et déconcentré dépasse toutefois celle de la un gouvernement .Elle touche à l’efficacité du politique en général. La priorité des futurs dirigeants sera de donner au pays les moyens de se gouverner: un Premier ministre puissant, solide, déterminé, prêt à prendre des risques dans le champ économique et social, celui de la sécurité, des frontières, dévoué à l’intérêt général; des ministres engagés, responsables, autoritaires (au sens noble), décidés à diriger leur ministère et non confinés à la communication; une majorité audacieuse, volontaire pour assumer son programme et veiller à sa mise en œuvre. Il faudra réhabiliter les notions de volonté, de gouvernement, de choix, de décisions, d’objectifs et de responsabilité, les placer au cœur de la politique. Le mieux qu’un gouvernement pourra faire sera d’insuffler une énergie, une confiance nouvelle à l’appareil d’Etat, et mettre sur les rails un Etat fort, c’est-à-dire orienté, non pas sur la communication, mais l’action et l’ambition d’obtenir des résultats. Cela devrait inscrire dans une logique de continuité pas dans le sens péjoratif du terme .Cela s’appelle gouverner, tout simplement…

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  15. D'après François Perroux , la croissance n'apparaît pas partout a la fois mais passe par des points ou pôles de croissance, ma question s'intéresse aux critères sur lesquels on se base pour déterminer ces pôles de croissance, et quels seraient les points de croissance a considérer ou promouvoir en Haïti dans le cadre du développement polarisé ?

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  16. Dans la logique du plan stratégique du développement d’Haïti, on doit choisir une stratégie de croissance économique forte et durable qui entraine une création de richesse et d’emploi. On sait qu’en Haïti la grande majorité des richesses est concentrée entre les mains d’une minorité qui s’accentue sur l’accumulation de richesse du pays et non à la création de richesses. Avec une telle bourgeoisie, j’aimerais savoir comment peut-on accéder à une telle croissance économique en Haïti ?

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  17. Le problème qui me trotte l’esprit c’est qu’on a vu à travers les analyses du professeur Jean François Tardieu dans le cadre du cours de géographie économique, la présence d’infrastructures routières n’est pas suffisante pour conduire au développement économique, social et politique d’un pays. Il a d’ailleurs pris l’exemple de l’ex président monsieur René Garcia Préval qui durant ses deux mandats a axé son programme politique sur la construction de la majorité des routes reliant Port-au-Prince et les zones périphériques du pays mais aussi les zone périphériques entre elles, facilitant ainsi la circulation dans le pays. Peut-on dire vraiment qu’il a échoué ? Les infrastructures routières ne constituent-elles pas la base de l’édifice du développement ? Ne pourrait-on pas penser que c’est le travail en aval qui n’a pas été fait ou n’est pas encore fait qui peut nous inciter à penser que le président Préval a échoué dans son programme.

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  18. DORVIL Nephthali12 mai 2016 à 20:52

    C’est vrai le besoin de se nourrir constitue un élément important mise à part du problème mondial comme la faim ou la malnutrition qui englobe le monde, ce qui fait de l’agriculture un axe a considéré. Malgré tout, A mon avis, il ne constitue par un axe primordial à priori pour arriver au développement que beaucoup d’entre nous imagine. Pour moi, l’axe principal est la construction des réseaux routiers accessibles à divers endroit et à diverses échelles c’est à dire à tous les niveaux du pays. Bien que, dans le cas d’Haïti le niveau n’est pas proportionnelle avec la superficie et/ ou à la taille des zones rurales ou urbaines. Cela va entraine une relation forte entre le milieu rural vers le milieu urbain peut-être vice versa, elle entraine aussi une diminution des pertes liés à la vente des produits agricoles dans d’autres espaces très éloignées.

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    1. John Barckley GABRIEL12 mai 2016 à 21:25

      Je pense le contraire parce que si l’on considère le cas d’Haïti sous le gouvernement de René Préval. Malgré que les routes constituent une priorité dans son premier mandat mais aussi dans son retour à la tête du pays lors de son second mandat ayant pour priorité de finaliser une œuvre déjà commencée. Pourtant, la construction des routes n’empêche pas vraiment l’augmentation du chômage dans le pays qui augmente implicitement la misère. Et cela a provoqué des bouleversements par des manifestations qui contribuent à l’augmentation de l’insécurité.

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    2. DORVIL Nephthali12 mai 2016 à 23:02

      Au contraire, cette époque ce n’est pas le développement de l’axe routier qui pose problème dans le processus de René G. Préval, il y a l’influence politique de la bourgeoisie sur la masse populaire pour le renversement du pouvoir, le pays a eu un embargo pendant une certaine période et la production nationale est insuffisante pour nourrir la population. C’est ce qui explique la hausse du prix sur le marché de bien et de service puisque les produits sont insuffisants et rares, et la demande croit sur le marché. Donc, sous peine salarial les consommateurs ont tendance à se manifester.

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  19. ESTIME Djemson12 mai 2016 à 20:54

    Apres avoir lu le PSDH, pour y arriver à un développement à grande échelle, selon moi l’agriculture pourrait être l’élément favorisant dans la mesure où l’agriculture fournit beaucoup plus de valeur ajoutée. Mais, il nécessite l’aide des autres facteurs comme la construction des grands axes routiers, l’achat des engins lourds et la création des usines de transformation. Etant donné que les itinéraires techniques pour les cultures sont variés ou du moins le temps écoulé depuis la période de semis jusqu’à la récolte sont différents pour les espèces végétales. Comment peut-on arriver à écouler des produits agricoles en respectant les normes internationaux sans prendre en considération la question des axes routiers à priori ? Vu que le temps que prendra le produit pour arriver à maturité peut être très court, Ce temps sera-t-il suffisant pour la construction des routes ?

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  20. Suivant l’analyse de la situation actuelle du pays, et à travers un processus participatif en relation avec les parties prenantes locales et les partenaires du développement pour une vision à long terme de l’aménagement du pays, on peut s’adosser au programme pertinent d’actions prioritaires du PSDH qui vise à :
    • Renforcer l’attractivité et la compétitivité des villes, créer les conditions de croissance des pôles économiques sous régionaux compétitifs, capable d’attirer les investisseurs et promouvoir de nouvelles activités.
    • Améliorer la gouvernance urbaine à travers notamment un cadre institutionnel rénové et adapté au contexte.
    • Améliorer les conditions de vie des populations pauvres notamment à travers la dynamisation du secteur informel dans le sens d’une augmentation des bénéfices individuels et collectifs qui peuvent en être tirés par des mesures d’accompagnement appropriées. Une attention particulière sera également portée aux dysfonctionnements qui entravent l’accès des populations à la sécurité foncière et favorisent en conséquence la précarité de l’habitat.

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  21. Le plan stratégique de développement d’Haïti se propose d’amorcer le développement d’Haïti en se basant sur l’établissement dans le pays de pôles régionaux de développement à l’échelle des départements géographiques ,le professeur TARDIEU nous l’a bien démontré dans son cours on ne peut pas réaliser de plan de développement polarisé en se basant sur des départements ou des chefs lieux de département .D’après moi le développement du pays devrait commencer par le secteur agricole base malgré ses nombreuses faiblesses de notre économie, pourquoi et comment on doit commencer avec l’agriculture ? Comme je viens de le dire l’agriculture est la base de notre économie aucun avancement du pays ne peut se réaliser en dehors du secteur agricole car un fort pourcentage de l’économie repose sur ses épaules maintenant pour amorcer le développement avec l’agriculture il importe de :
    1) Faire un diagnostic exhaustif de la situation agricole du pays à partir de ce diagnostic on pourra alors prendre les mesures appropriés à la situation.
    2) Faire une analyse économique des différentes régions agricoles du pays, cette analyse doit permettre de connaitre les différentes régions potentielles où l’on peut établir des pôles agricoles.
    3) Établir un plan de développement durable de l’agriculture.
    4) Favoriser le développement d’autres secteurs d’activités économiques au moyen du développement agricole c’est pour cela que les poêles agricoles doivent être choisis de manière minutieuse.
    5) Rechercher des investisseurs qui pourront s’engager a long terme dans le secteur agricole afin de faciliter le développement du secteur.
    6) Augmenter le niveau technologique et technique de l’agriculture afin d’avoir une agriculture très productive.

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  22. Dans le plan Stratégique pour le développement d’Haïti PSDH, On propose des pistes de solution qui peuvent aider le développement du pays à moyen et à long terme Surtout si on se base sur l’article célèbre de François Perroux, « La croissance n’apparait pas partout à la fois ; elle se manifeste en des points ou des pôles de croissance (….) avec des effets terminaux variables pour l’ensemble de l’économie ». Dans ce sens la création des pôles de développement devrait être l’une des meilleures stratégies pour enlever le pays dans cette situation de pauvreté que nous sommes aujourd’hui. Cependant on ne tient pas compte de la réalité actuelle du pays puisqu’on se propose de faire le choix du secteur privé pour animer de développent. Je pense que ce Dans un pays comme Haïti, le secteur privé ne donne pas aucune apparence de développer le pays. On doit penser à faire des investissements à court, moyen et à long terme, or dans un pays comme Haïti où le secteur privé travail pour son intérêt propre et au détriment de la masse, on n’assistera jamais à un développement du pays avec le secteur privé. Je pense plutôt à un Etat fort qui peut prendre sa responsabilité comme le moteur du développement.

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  23. Le PSDH dans ses principales visions comme :
    - tracer le chemin à suivre pour sortir le pays de la situation de sous-développement
    -Mobiliser et de rassembler tous les acteurs autour d'une stratégie unique
    -garantir une coordination de toutes ces initiatives qui sont prises dans le but formel de participer au développement du pays.
    Quelles sont prestijeuses ces missions !
    De 2010-a2030 un projet a long terme pour Haïti , le développement du pays a besoin des projets avec des grand axes en terme d’objectif comme celui du PSDH, mais est ce que les visions de départ se tiendront jusqu'à la dernière heure. Après 6 ans de travail n’est il pas important pour tout programme de cette envergure pour que le peuple a au moins un minimum de connaissance la dessus? Jusqu'à date est ce qu’on pourrait parler de la réussite du projet ou de son échec puis qu’après 6 ans de fonctionnement les on peut voir si le projet est dans la bonne direction ou pas par ce que dans le pays la mobilisation et rassemblement des acteurs autours d’un intérêt commun pour la nation est extrêmement difficile avec la pérennisation de la lutte pour le pourvoir.

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  24. Tenant compte de la "vision à long terme du développement d’Haïti est la refondation de la nation haïtienne transformant la catastrophe du 12 janvier 2010 en une opportunité pour qu’Haïti devienne un pays émergent d’ici 2030". Tenant compte de la réalité actuelle du pays, on peut dire aisément que le PSDH a échoué dans sa mission. Sur le papier, on devrait dans la phase de" refondation économique", où on est aujourd'hui? On progresse ou on regresse? Peut-on dire que le PSDH avec ses magnifiques plans de developpement, rete à l'état latent ou dans notre jargon populaire reste "à l'oral" ?

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  25. Le réseau routier comme un ensemble des routes interconnectées et entrecroisées entre elles permettant le passage des personnes et des marchandises constitue un secteur important dans une économie. Il participe et contribue efficacement au processus de création des richesses dans un pays.
    Pour le cas qui nous est sien, la réalité prouve le contraire, c'est-à-dire le réseau routier en Haïti accuse une incapacité qui ne lui permet pas de jouer convenablement son rôle. Concrètement, les routes en Haïti ne constituent pas un réseau effectif parce qu'elles ne sont pas interconnectées, ne permettent pas l'intégration et même la liaison de l`arrière-pays considérée comme la zone de production et les villes comme le centre de consommation. Cet état de choses prouve l'absence ou soit la faible participation du réseau routier dans le processus de création des richesses en Haïti.

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  26. À mon avis, je pense que le Psdh constitue un veritable tremplin pour l'essor de notre pays. Car, c'est le fruit d'un travail minutieux mettant en exergue les vrais problèmes du pays et du même coup propose les moyens d'y remédier. Les huits points se révèlent indispensables pour l'éventuel aménagement du territoire. Donc l'état haïtien doit s'évertuer afin d'adopter le Psdh en vue de sortir notre société de cette précarité.

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  27. Comment la situation socio-politique peut entraver le développement économique du pays? Parceque tenant compte de la situation du pays ces dernières années selon moi on peut pas parler de croissance économique. Olguens Donatien FAMV TCIII

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